Bitam clan Essandone : un repli identitaire au rabais qui plombe le développement de de la commune.

Malgré sa bonne volonté et son militantisme avéré, le camarade Pastor Ngoua N’neme ne remplit pas les conditions pour restaurer la crédibilité du PDG à Bitam. En français facile, Pastor ne doit pas être candidat parce qu’il est Essangui. Eh, oui chers camarades, les ressortissants du clan Essandone viennent de signer une Fadoua contre Pastor, une pratique vielle comme le monde utiliser par René Ndemezo’o Obiang. Cette pratique qui est au antipode de la politique de rassemblement du distingué Camarade révèle enfin le vrai visage des militants que le camarade Charles Mve Ellah appelle « les bons petits des bons grands ». Une fine équipe qui tire le PDG vers le bas en affaiblissant les vrais militants. 

Depuis des décennies la pratique de la politique de tout pour nous rien pour les autres a toujours régner à Bitam. Cette politique identitaire a pour force que les Essandones seraient plus nombreux à Bitam que tout autres clan. Un argument mensonger cousu de toute pièce par René Ndemezo’o quand il voulait réduire les autres au silence. 

La commune de Bitam est certes un village Essandone, mais n’en demeure pas moins qu’il existe une forte population flottante issue des autres tribus dont les Effack, Essangui, Eba’a et Essabeigne, etc. Ces populations détiennent des quartiers plus peuplé que les petits villages Essandone. Parmi ses quartier, Quartier Ovang, Mbirabane, quartier Haoussa ou Est, Akue Essimegane, Aviasion, Mengomo Ayat, Ngô Mengomo, Essangui, Biyi Effack & Eba’a, Avab avion sont une parfaite illustration de l’existence des quartiers non Essandone. Au demeurant, il n’est pas ici question de dire que les Essandones ne sont pas représentatif, mais juste rappeler que cette affirmation qui consiste à faire croire que le salut viendra que chez eux est fausse. 

Les signataires de la Fadoua qui vise le Camarade Pastor Ngoua N’neme ne sont plus au PDG depuis 2015 car comme des moutons, ils avaient suivis René Ndemezo’o en prédisant la mort d’Ali Bongo en 2016. Ces éternels bons petits des bons grands sont invisibles sur le terrain à Bitam pour les activités du PDG. Leur nouveau travail consiste à faire la propagande et la promotion de Démocratie Nouvelle et son président. Nous disons que votre temps est fini, car tout le monde sait que votre mentor n’est plus respecté à Bitam. Au lieu de salir le nom de Pastor interroge vous sur votre mort politique. Hier vous racontez que René sera Vice-président avec la honte votre présence devient de plus en plus rare. 

Chers Frères, accepter désormais votre nouveau statut d’ex-pdgiste et nouveau militant de DN, c’est tout. Rédiger des lettre à longueur des journées ne sert plus à rien pour preuve votre Fadoua se retrouve sur les réseaux sociaux. La honte ne tue,  quand  regarder votre ex camarade en face  votre ridicule devient legendaire ? Ridicule, c’est ce que vous êtes. 

Hilaire Mintsa Mi Nzue, François Essono Obiang, Dieudonné Ndemezo’o, Ebang Mengne, Nguema Maixent, Edzang Sylvestre, etc. Vous êtes ridicules et très petit pour agir ainsi. On se demande bien à quand vous vous rendriez compte que René Ndemezo’o est mort politiquement. Qui d’entre vous, arrive à la cheville de Pastor ? Dites-nous, car en dehors des mensonges que vous distillez sur les réseaux-sociaux. Avant-hier vous avez fait ça à Charles Mve-Ellah , hier, vous avec salie Flavienne, Nfoumou  Edou Sima, Janvier Essono, Emmanuel Ondo Metogho, et aujourd’hui, c’est Pastor très franchement qui de vous peut-être Candidat ? 

Dieudonné un type qui dort dans la voiture avec des guenilles  au corps et les autres ivrognes  et lèches cul qui pense qu’être Essandone devient un diplôme en politique. Des individus qui manquent de courage pour dire des choses en face. Aller rédiger les papiers en cachette franchement des gens ridicules. 
Votre stratégie qui consiste à avoir un candidat plaisantin du PDG face à celui de René est connue de tous. Peine perdue le PDG aura un Candidat non Essandone à Bitam, et ce, dernier battra votre candidat naturel. 

Comments

[Ango]

Que Pastor et sa bande arrêtent leurs provocations vis à vis des ressortissants authentiques de Bitam, les Essandone...

[ella]

LA FUITE EN AVANT



La réaction de Monsieur Ngoua N'neme Pastor, suite à l'adresse confidentielle, statutaire, juste et de bonne foi à l'endroit du Distingué Camarade Président, des cadres du PDG, certes pour la plupart natifs du clan Essandone, mais tout de même tous militants actifs, bien connus du PDG et Membres du Conseil National, suscite en moi ce qui suit:

1) La faillite et l'ambiguïté des intermédiaires,

2) Le déficit de confiance envers le DCP,

3) L'absence de démonstration du contraire,

4) Les attaques personnelles envers les cadres Essandone, militants du PDG.



DE LA FAILLITE ET DE L’AMBIGUITE DES INTERMEDIAIRES



Il est inconcevable qu'un courrier déposé de bonne foi, dans les instances du Parti et adressé à la Très Haute Attention et exclusive du DCP, soit détenu et lu par une tierce personne et diffusé au grand public et à la merci de tous bords politiques, avant même que le DCP lui-même n'ai pris connaissance. Comme pour narguer le destinataire et confondre ses sources, l'ancien Ministre Ngoua N'neme Pastor a jugé utile d'y répondre en lieu et place de la plus Haute Autorité du Parti. Cette attitude de défiance et d'insubordination notoire et manifeste à l'endroit du DCP est la conséquence d'une défaillance grave des services intermédiaires du Parti, qui trahi une double situation:



a) L'incapacité de travailler dans le secret du DCP.



Cette incapacité se traduit par le refus délibéré de réserver au DCP par les instances qui gèrent le circuit des courriers à sa discrétion, la primeur des contributions et autres informations statutaires, à l'adresse exclusive de de dernier. Une attitude douteuse, tendancieuse et même extrêmement dangereuse, rappelant quelque peu les débuts de HM. Dans tous les cas, si Ngoua N'neme Pastor était un homme de grande facture et un militant loyal et soumis à la Très Haute Autorité du DCP, il se serait abstenu de divulguer cette correspondance, par respect du Grand Chef à qui cette note est exclusivement adressée et aussi pour la discrétion et par considération de ses sources. Il a fait montre d'une incapacité manifeste d'y construire une exploitation plus intelligente, que ses informateurs ont certainement voulu susciter en lui.



b) Le conflit de loyauté qui est dangereusement affirmé ici puisqu'en même temps que ces intermédiaires entendent servir le DCP (???), ils protègent aussi dans une logique contradictoire les intérêts inavoués, des réseaux aux agendas inconnus et certainement à la marge et peut-être concurrents à celui du DCP.



LE DEFICIT DE CONFIANCE ENVERS LE DCP



Le drame ne s'arrête pas à l'incapacité et au conflit de loyauté, Monsieur Ngoua N'neme s'est autorisé à répondre à un courrier adressé au DCP, avant que lui-même en prenne connaissance. Voici un acte très grave, puisqu'il y a là un mouvement de substitution et de dépassement du DCP. En effet, La démarche correcte aurait été que le DCP reçoive le courrier, et si possible convoque le concerné, rencontre au cours de laquelle il aurait décliné sa vision des faits au DCP sur les sujets abordés par la note visée. Une argumentation qui clarifierait ou qui contredirait la consistance de ladite note. Se substituer au DCP et s'autoriser à agir en ses lieux et place sans son mandatement révèle deux interrogations :

1) Le doute sur le discernement, la cohérence et la confiance du DCP.

2) Le déficit de confiance entre le DCP et son ancien Ministre.



En effet, si Monsieur Ngoua N'neme Pastor était convaincu comme tout bon Pdgiste que les arbitrages du DCP étaient faits avec plein de cohérence, de discernement et d'objectivité, il aurait tout naturellement attendu que ce dernier prenne connaissance du courrier, qu'il l'examine et qu'il en donne des orientations pertinentes. En anticipant ainsi, par usurpation et malice l'exploitation d'une adresse exclusive de son Chef, Pastor Ngoua N'neme et ses complices ont gravement violé le principe de primeur, qui veut que l'autorité supérieure, qui se retrouve dans le cas d'espèce le Chef de l'Etat, soit destinataire de tous courriers avant leurs examens par les services compétents sous son autorité. Mais malheureusement, la lettre d'information au DCP des MCN de la commune de Bitam se retrouve sur la table de ce dernier, en même temps que la réaction que Pastor Ngoua N'neme s'est vue autorisé à y faire, sans y avoir été instruit de ce dernier. Comme si le DCP et ses services compétents, étaient foncièrement incapables par lui-même et par eux-mêmes, de cerner la problématique, et d'y faire un arbitrage efficient, en combinaison avec les autres multiples sources de renseignements dont ils disposent. Il s'agit ici de savoir si le camarade Ngoua N'neme ne se sait pas en disgrâce auprès du DCP, quand on sait que plusieurs de ses anciens collègues du Gouvernement sont sous écrous et qu'il traine derrière lui des échecs électoraux graves, malgré d'énormes moyens financiers et logistiques mis à sa disposition, pour affronter ces échéances importance. Ngoua N'neme Pastor a t'il craint que ces précieuses et réelles informations au DCP, qui ne s'intéressent d'ailleurs et particulièrement pas à sa personne ne viennent ajouter à sa déchéance, si déchéance il y a, auprès du DCP?

Si je sers dans la confiance le DCP (le PR), avec un rendement optimal, je dois être sûr et serein qu'il continuera à m'associer à toute action politique sur ma circonscription et bien au-delà, et même dans la réponse à des missives qui portent jugements sur mon exercice. Si je décide de me soustraire de cette cohérence élémentaire, cherchant par des voies contournée à dévoyer son jugement sur une situation trait à mon action, en me mouvant à me défendre seul , comme s'il s'agissait d'une mission personnelle, j'étale au grand jour la preuve que le DCP, ultime architecte de notre environnement politique, n'est plus disposer à me défendre et à faire chemin avec moi.



ABSENCE DE DEMONSTRATION DU CONTRAIRE DE LA CONSISTANCE DE LA CORRESPONDANCE



À la lecture de la réaction de Ngoua N'neme Pastor, on parcourt une succession d'injures, d'intrigues, d'insinuations et d'attaques personnelles envers les cadres du PDG, ressortissants du clan Essandone. Toutes choses totalement puisée hors de la logique de la lettre de ces statutaires du PDG à l'adresse exclusive du DCP. Comme disait Nietzche: «j'ai La nostalgie du pays, sans avoir de pays». Voici comment Ngoua N'neme attaque les cadres et notables Essandone, qui ne l'on jamais attaqué. Si Pastor Ngoua N'neme estime tant qu'informer le DCP, pour enrichir sa lecture de la circonscription politique de la Commune et affûter ainsi son arbitrage à ce sujet est une attaque contre lui, pourquoi n'apporte-t-il aucun argument contraire aux statistiques et autres informations contenues dans cette correspondance ? Comme toute réponse, il se satisfait de dire que «les cadres Essandone du PDG n'arrivent pas à sa cheville.» Sur ce point, Pastor rate l'occasion d'être explicite. Parce que tous les cadres stigmatisés sont universitaires et des hauts cadres de catégorie A1. Monsieur Hilaire Mintsa Mi Nzuè est Architecte diplômé de l'école africaine des métiers de l'architecture et de l'urbanisme de Lomé (concepteur de toutes ses résidences à Libreville et à Bitam), François Essono Obiang journaliste en chef diplômé de l'école de journalisme de Lille, La crème française, Dieudonné Ndemezo'o Nguema est docteur d'état en relation internationales, spécialiste de la réglementation et des migrations internationales; et tutti quanti. Si tous les cadres n'arrivent pas à la cheville d'un cadre des douanes, qui s'est abstenu de soutenir sa thèse de doctorat et qui a construit sa pseudo opulence, si opulence il y a, sur le dos de l'Etat, Bitam donc n'a vraiment pas de contenu... Nul n’a oublié que, Pastor Ngoua N'neme a adhéré au PDG, bien après tous les cadres qu’in couvre aujourd’hui d’insultes. Ce n’est qu’en 2003 qu’il a rejoint ce parti, lui l’ancien membre du Morena, le parti de son beau-père, feu Simon Oyono, Aba’a.

Il est bien compris qu'en insultant copieusement les cadres Essandone de Bitam, il a voulu démontrer à ses amis (son mentor, suivez mon regard) que même n'étant plus Ministre, il est capable de continuer le combat qu'il a engagé à son entrée au Gouvernement et sa demande, celui de réaliser l'anéantissement et la déchéance des cadres Essandone et à terme, l'extermination politique tout court des Essandone à Bitam. Aussi, son attitude rappelle la décision de Cortez, ce grand conquérant espagnol qui arrivé sur les côtes du Mexique, a juré ne plus mettre les pieds en Espagne. Il s'est alors mis à brûler ses vaisseaux afin d'écarter toute tentative de revenir sur sa décision. D'où l'expression "brûler ses vaisseaux", pour montrer que quelqu'un s'est engagé dans une voie sans retour. Parce que, après avoir insulté et dénigré le peuple Essandone et ses cadres qui ne l'ont guère provoqué, on peut être interrogatif sur le courage et la capacité, dont il serait encore muni, pour tenter de s'activer à nouveau sur le terrain politique de La Commune de Bitam, s'y mouvoir librement et escompter des retombées pour le PDG. Je pense qu'il vient par cet acte et solennellement de proclamer son retrait de la scène politique de Bitam, qu'il ne tenait pas à quitter sans scandale. Les Essandone y veillent désormais, bien plus et bien mieux qu'auparavant. Tous les Essandone ont lu ses pages, vieux, moins vieux, jeunes, je m'interroge et certainement à raison, jusqu'où va aller la guerre qu'il vient ainsi s'efforcer à déclencher ?